mi-juin 2005
Au chapitre des satisfactions : les nombres d’habitants, d’écoliers, de pavillons, d’associations communales et le PLU.
De 1015 habitants en 1999, la population dépasse aujourd’hui les 1 100 unités. Le nombre d’élèves devrait avoisiner la centaine de têtes blondes. Les lotissements de part et d’autre de la rue François Mitterrand sont occupés.
Deux nouveaux lotissements sont en cours d’études . Ils comportent 22 lots près de l’église et, plus près du carrefour des écoles, une zone réservée à des pavillons locatifs. Une tranche de 10 pavillons plus particulièrement conçus pour des personnes âgées ou handicapées sera aménagée en bordure de la rue F. Mitterrand ; une « maison inter-générationnelle de quartier », qui a reçu la semaine dernière l’agrément du sous-préfet, doit servir de lieu de rencontre. Les conseillers seront tous appelés à définir les règles qui permettront à ce lieu de brassage des générations d’être efficace, agréable et esthétique.
Le quartier de Loch ar Big a fait l’objet d’opérations d’enfouissement de réseaux.
Le PLU poursuit son bonhomme de chemin. Le projet est consultable en mairie. Le PLU sera soumis pour observations et approbation aux services de l’Etat, puis à enquête publique. Il sera encore temps, à ce dernier stade, de formuler des observations, d’obtenir des modifications, si ces dernières sont fondées.
Au chapitre des déceptions provisoires : l’ajournement de certains travaux et les difficultés rencontrées dans la recherche de terrains destinés à accueillir des terrains de sport pour les jeunes de la commune.
L’Etat ayant réduit ses « subventions », certains travaux d’aménagement (carrefour des écoles, carrefour du CIA-Kerscamon) doivent être différés.
Agrandir l’école, construire une nouvelle cantine scolaire constituent aujourd’hui des sujets vitaux de débats. Cela implique le transfert du terrain de football dévolu aux jeunes vers le stade Marcel Rivoal. La municipalité avait obtenu l’accord de vente de principe de la famille Mazaud. Mais le locataire du champ convoité réclame une indemnité d’éviction d’environ 148 500 F (22 500 euros). La municipalité recherche donc un autre terrain.
Encore une chose : si la destruction d’un nid de frelons, abeilles, guêpes est confiée aux pompiers, il en coûtera 75 euros au « propriétaire » des hyménoptères qui ne les aura pas donnés à un apiculteur.
Xavier Berthou